Jesùs Alonso Carballés et Isabelle Touton organisent les 7 et 8 février prochain un colloque international intitulé « Miradas cruzadas sobre la dictadura franquista: historia, memoria y comic/ Regards croisés sur la dictature franquiste : histoire, mémoire et bande dessinée » avec un riche programme que vous retrouverez en pièce jointe ci-dessous.
Odette Martinez (présidente de CERMI) y intervient le samedi 8 sur le thème suivant : « Dire la guérilla des femmes contre Franco : récits personnels, obstacles et transgressions ? »
Une journée d’étude organisée par David Marcilhacy et Marianne Bloch-Robin, CRIMIC / Sorbonne Université le vendredi 6 décembre 2019 à l’Institut d’Études hispaniques (Salle Delpy) portera sur le thème « Mémoire du premier franquisme : historiographie et écriture visuelle ».
Cette journée s’inscrit dans le cadre de la question « Mémoire du franquisme. Vie quotidienne, répression et résistance dans l’après-guerre civile » inscrite au programme du concours externe de l’agrégation d’espagnol de la session 2020. Les spécialistes français et espagnols des différents aspects de cette question s’intéresseront à la répression, à la vie quotidienne et aux formes de résistance dans l’après-Guerre Civile en Espagne (1939-1952) et s’interrogeront également sur la façon dont la mémoire de cette période s’est traduite dans le débat public ainsi que dans les cómics et romans graphiques, depuis la transition espagnole jusqu’à la seconde décennie du XXIe siècle.
Accès libre dans la limite des places disponibles. Pour des raisons de sécurité, merci de vous inscrire avant le 2 décembre 2019 à l’adresse suivante : marianne.bloch-robin@sorbonne-universite.fr
Programme
9h15 : Ouverture de la journée d’étude : Miguel Rodriguez, directeur du CRIMIC, Marianne Bloch-Robin et David Marcilhacy, organisateurs
10h : Modératrice : Eva Touboul-Tardieu, Université Paris Nanterre
Mercedes Yusta Rodrigo (Université Paris 8 Vincennes-Saint Denis) : « Répression et résistances pendant l’après-guerre en Espagne (1939-1952) »
Juan Carlos García Funes (Universidad Pública de
Navarra/ Sorbonne Université): « Batallones de trabajo forzado del sistema concentracionario
franquista (1937-1945) »
11h15 : Modérateur : David Marcilhacy, Sorbonne Université
Francisco Sevillano Calero (Universidad de
Alicante): « Relatos y narrativas sobre los “vencidos” en el medio
digital: la construcción de una historia desde abajo »
Stéphane Michonneau (Université de Lille) : « Mémoires d’après-guerre en Espagne : du silence au
tout-mémoire »
Robert Coale (Université de Rouen) : « Los españoles en la División Leclerc:
Imagen, memoria y mito »
Isabelle Delorme (Institut d’Études Politiques de
Paris) : « Faire mémoire en
bande dessinée : les récits mémoriels historiques »
Viviane Alary (Université de Clermont-Ferrand) :
« De l’utilité de la bande
dessinée comme art de la mémoire pour raconter le quotidien répressif sous le
franquisme »
Rencontres franco-espagnoles organisées par « Voix de l’extrême Poésie et culture » et « Voces del extremo » à Montpellier et Sète du 5 au 7 décembre prochain avec un beau programme de conférences, de récitals et d’expositions sur les camps en France et le camp de la Magdalena à Santander (Cantabrie). Geneviève Dreyfus-Armand, fondatrice et présidente d’honneur du CERMI et Anita Gonzalez-Raymond, membre du CERMI y contribueront.
Un colloque à Toulouse en deux temps, organisé par l’université de Toulouse- Jean Jaurès sur la résistance sous le franquisme bras tendu et poing levé sous le franquisme auquel participe Cécile Vilandre-Canizares, membre du CERMI.
Mercedes Yusta, membre du CERMI, participe au séminaire qui débute ce 13 décembre sur la mémoire et l’histoire en Amérique latine et en Espagne, du contemporain au temps présent à l’EHESS bd Raspail à Paris, tous les 2e mercredi du mois de 17h à 19h.
Proposée
par l’association 24 Août 1944 et représentée
par 34 artistes, cette exposition retrace en cinq périodes
l’expérience populaire hors norme, de 1931 à 1939, de la
Deuxième république, la guerre civile et l’exil de 500.000
Espagnols du camp républicain. Cette expérience sociale jamais
égalée et cet exode appelé La retirada marquent
définitivement enfants et petits-enfants de cette génération.
Avec les artistes : Antonio Altarriba, Antonio Ros Blasco, Bruno Loth, Carlos Gimenez, Carmen Martinez, Carmen Pages, Castelao, Catherine Continente, Catherine Gil-Franco, Chari Goyeneche, Elsa Osaba, Eugenio Prieto Gabriel, Francisco Giné, Joan Jordà, José Olivares Cuadrado, José Torres, Juan Chica-Ventura,Julio Ribera, Kim, Leonor Fabra, Macarena Polo, Madeleine Lamberet, Manolo Alcorlo, Marina Aguayo (Ángel Corvera), Miguel Garcia Vivancos, Norma Pedroche, Olivier Pinalie, Paco Roca, Philippe Gibbon, Rosine Arroyo, Rufino de Mingo, Sim, Vicente Gil-Franco, Victor Simal.
Où ? A l’institut Cervantes. 7, rue Quentin Bauchard – 75008 Paris
Quand ? Vernissage le mardi 5 novembre de 18h à 21h, exposition visible jusqu’au 19 novembre 2019. Ouvert du lundi au vendredi de 10h à 19h – samedi de 10h à 14h .
Qui ? Association du 24 août 1944, Institut Cervantes et le Département de mémoire historique du gouvernement espagnol
24 Août 1944, association pour les mémoires partagées – Faire connaître et cultiver la mémoire historique de la Libération de Paris en 1944, commencée le 19 juillet 1936 en Espagne, continuée sur différents fronts en Europe et en Afrique ou dans les maquis en France et qui se prolongea dans le combat contre le franquisme.
Zoraida Carandell, membre du CERMI, interviendra prochainement dans un colloque consacré aux exilés espagnols en Amérique et en particulier dans le Mariland. Le colloque se tiendra les 23 et 24 octobre à l’université du Maryland, au collège Park.
Rose Duroux et Mercedes Yusta, deux universitaires membres du CERMI, interviendront au colloque organisé les 16, 17 et 18 octobre prochain à Madrid par l’AEMIC, le Circulo de Bellas Artes de Madrid, l’EUROM, Europe for citizen programme et la fundacion UNED.
Retrouvez ici le programme détaillé de ces trois jours de colloque :
La conférence-débat est organisée le 22 octobre 2019 à 19h au musée du Romantisme de Madrid.
Les politiques de mémoire ont surtout été abordées du point de vue historique, politique et social, mais plus rarement sous un angle culturel. Au-delà des symboles comme Guernica,
de nombreuses collections artistiques en sont pas revenues en Espagne
et en sont pas considérées comme un patrimoine mémoriel.
Il semble donc opportun de repenser le concept de mémoire et de promouvoir la connaissance du patrimoine artistique de l’exil : c’est le sujet de la conférence organisée par la fondation Felipe Gonzalez avec la participation de Ramón Jáuregui, de notre amie du CERMI Inmaculada Real et María González.
Las políticas de memoria han sido abordadas desde el ámbito histórico, político y social, pero menos desde el cultural. Más allá de casos simbólicos como el Guernica, existen otras muchas colecciones atísticas que no han retornado y que no son consideradas como patrimoniomemorístico. Por eso, consideramos que es conveniente repensar el concepto de memoria y fomentar el conocimiento del patrimonio artístico del exilio.
Para ello, hemos elaborado una nueva Palanca para la
revolución de las pequeñas cosas, que puede iniciar una serie
de cambios necesarios en la gestión de nuestros legados,
porque el deber de memoria se expresa a través de vectores cada vez
más complejos y variados.
Nos gustaría que nos acompañaras a
conocerla y debatirla con nosotros.
Fecha: 22 de octubre, martes. Hora:
19 horas. Lugar: Museo
del Romanticismo (Madrid). Entrada por C/ Beneficencia,
14 (mapa). Ponentes: Ramón Jáuregui, exministro de
Presidencia. Inmaculada Real, investigadora
postdoctoral.María González, patrona de la
Fundación Felipe González. El aforo es limitado. Por
favor, confirma tu asistencia en eventos@fundacionfelipegonzalez.org.