Carlos Ramírez Carreras, fils d’Adelita del Campo et de Julián Antonio Ramírez, a déposé une grande partie des archives de ses parents à la Biblioteca valenciana Nicolas Primitiu (fonds AJARAC). Mais il a conservé quelques pièces, comme les agendas de sa mère, qu’Adelita del Campo a commencé dès la guerre d’Espagne jusqu’à sa mort en 1999.
L’historien Francisco Moreno Sáez a entrepris la transcription de ce très riche témoignage intime de la vie d’une exilée espagnole, qui note jour après jour à la fois ce qu’elle fait mais aussi ses sentiments et ses impressions.
Les années 1940 et 1941 sont manquantes, mais Francisco Moreno Sáez a déjà partagé la transcription des années 1942-1944 :